Les stages

Quels sont les différents stages réalisés par les étudiants en médecine générale ?
En quoi consistent-ils ?

Ce 1er stage est une occasion unique de faire découvrir la médecine générale à un étudiant de 5ème ou 6ème année. Cela lui permet d’appréhender les spécificités de cette spécialité, de découvir les pathologies apprises pendant les cours sous l'angle des soins primaires, de se confronter aux présentations cliniques des patients différentes de celles présentes chez les patients hospitalisés au CHU.

L’étudiant observe et apprend l’examen clinique aux côtés du maître de stage. Il est sensibilisé à la relation médecin-patient, au rôle de médecin de famille et découvre l’approche globale centrée patient. Il se confronte à l'exercice libéral individuel ou de groupe.

Ce stage peut créer des vocations et permettre un choix délibéré de la médecine générale à l’Examen Classant National en 6ème année. Pour ceux qui choisiront d'autres spécialités, notamment hospitalières, ils auront une connaissance de la réalité de l'exercice du généraliste et de ses compétences.

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Ce stage obligatoire permet à l’interne, étudiant en 7ème année durant la phase « socle » de son internat, de découvrir la richesse, la diversité de son futur métier et l’apprentissage de la médecine générale en cabinet, différente et complémentaire de la pratique en milieu hospitalier.

Il permet une application des savoirs par l'interne : le savoir-être et le savoir-faire.

L'objectif de ce stage est la mise en autonomie progressive. Il comporte trois phases :

  • en observation active, pendant laquelle l’interne observe le MSU.
  • en supervision directe, pendant laquelle l'interne effectue la consultation en présence de son MSU, avec un temps de rétroaction pédagogique après la consultation.
  • en supervision indirecte, pendant laquelle l'interne effectue seul la consultation. Le MSU n'est alors pas présent physiquement pendant la consultation mais doit rester joignable à tout moment par son interne.

L'interne découvre le travail dans le cadre de la médecine ambulatoire. Il se confronte à la prise en charge globale du patient et à sa complexité. Il développe des compétences propres à la médecine générale en situation authentique. Il découvre la complexité de l'approche EBM (Evidence Based Medecine).

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Ce stage est professionnalisant, mais se distingue d’un remplacement par l’encadrement pédagogique réalisé par le MSU. Il devient obligatoire pour les nouvelles promotions d’internes de Médecine Générale à compter de Novembre 2017. Cependant, il n’est actuellement proposé qu’à 30 à 40% des actuelles promotions d’internes du fait d’un manque d’effectifs de MSU.

Assez rapidement, l'interne doit être mis en autonomie d’apprentissage, c'est-à-dire qu’il doit consulter seul les patients. Le MSU peut être présent ou non sur la structure mais il doit être joignable à tout moment par l’interne pour répondre aux demandes de l’interne. Une fois les consultations réalisées par l’interne, le MSU doit effectuer une rétroaction pédagogique appelée supervision indirecte.

L’interne a déjà fait 6 mois de stage en ambulatoire. Il est donc, en principe, capable de réaliser en sécurité une consultation ou visite de médecine générale. Il y a cependant encore de nombreuses situations qu’il n’a jamais rencontrées. Il a donc besoin de conseils et d’encadrement. Grâce à ce stage il va prendre confiance en lui et développer l’ensemble des compétences utiles pour assurer sa future fonction de médecin généraliste.

Le SASPAS, c’est l’apprentissage de l’exercice en autonomie, mais aussi la gestion du cabinet dans sa totalité : comptabilité, organisation du cabinet, permanence des soins avec tour de garde, gestion des consommables, secrétariat…

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Réaliser un stage en santé de l’enfant et un stage en santé de la femme est obligatoire pour valider la maquette du Diplôme d’études spécialisée de tous les internes de médecine générale.

Parce que la santé de l’enfant et de la femme dans le cadre de la médecine générale doivent s’apprendre en situation authentique d’exercice, il est logique de pouvoir offrir ces stages dans les conditions réelles d’exercice de la médecine générale.

Ces stages (6 mois pour la santé de l’enfant et 6 mois pour la santé de la femme) sont réalisés durant la phase d’approfondissement, c’est-à-dire les 2ème et 3ème année d’internat de Médecine Générale.

Les internes accueillis sont donc, comme pour le SASPAS, déjà en capacité d’apprentissage en autonomie. Il leur manque en général des compétences dans le suivi et la prise en charge des situations cliniques de santé de l’enfant et de la femme. Leur accompagnement pédagogique vers la mise en autonomie d’apprentissage est donc plus rapide qu’en stage de niveau 1 mais plus progressif que celui du SASPAS. La réalisation d’une première phase de consultations en observation ou en supervision directe est nécessaire.

Grâce à ce stage il vont prendre confiance en eux et développer l’ensemble des compétences utiles pour assurer leur fonction future de médecin généraliste dans le champ de la pédiatrie et la gynécologie.

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Réaliser un stage en santé de l’enfant et un stage en santé de la femme est obligatoire pour valider la maquette du Diplôme d’études spécialisée de tous les internes de médecine générale.

Parce que la santé de l’enfant et de la femme dans le cadre de la médecine générale doivent s’apprendre en situation authentique d’exercice, il est logique de pouvoir offrir ces stages dans les conditions réelles d’exercice de la médecine générale.

Ces stages (6 mois pour la santé de l’enfant et 6 mois pour la santé de la femme) sont réalisés durant la phase d’approfondissement, c’est-à-dire les 2ème et 3ème année d’internat de Médecine Générale.

Les internes accueillis sont donc, comme pour le SASPAS, déjà en capacité d’apprentissage en autonomie. Il leur manque en général des compétences dans le suivi et la prise en charge des situations cliniques de santé de l’enfant et de la femme. Leur accompagnement pédagogique vers la mise en autonomie d’apprentissage est donc plus rapide qu’en stage de niveau 1 mais plus progressif que celui du SASPAS. La réalisation d’une première phase de consultations en observation ou en supervision directe est nécessaire.

Grâce à ce stage ils vont prendre confiance en eux et développer l’ensemble des compétences utiles pour assurer leur fonction future de médecin généraliste dans le champ de la pédiatrie et la gynécologie.

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